La Metro 6R4, c’est un mélange d’Audi Quattro et de R5 Turbo, une bombe directement sortie des 80’s pour aller patauger dans la boue des spéciales du Groupe B. Mais avant, il a fallu en assembler 200 pour obtenir le ticket d’entrée. Bon, tout ça c’est bien, mais j’vous ai déjà tout raconté… Au fait, quelqu’un aurait du lait ? Non ?! Bon, j’vais en chercher…
Il va falloir m’expliquer un truc… Pourquoi les vidéastes qui ont l’occasion, que dis-je, la chance de pouvoir filmer ce genre d’engin, doivent-ils tout flinguer avec un scénario à 2 balles, qui la plupart du temps, tourne autour de la bouffe ?! Attendez, j’étoffe mes arguments…
Et tant qu’on est au petit déjeuner, rappelez vous de ce road trip en Miura qui se termine devant un p’tit café ! Genre El Gringo qui a troqué son train et sa flûte de Pan contre une Lamborghini et son V12 !
Ouais, je vois pas l’délire de nos scénaristes, qui passent quand même du temps là dessus, qui y mettent du pognon pour nous pondre un truc aussi léger ! Surtout que le gars, il va chercher son lait où ? A la poste…! A moins que les anglais embauchent des vaches pour vendre des timbres, si l’un d’entre vous peut m’expliquer.
Alors soit je vieillis mal, et les astuces modernes m’échappent… Soit je suis trop terre à terre, et pareil, totalement en train de devenir asociale. Soit j’ai les fils qui s’touchent et j’vais finir par manger mon caca… Ah ben tiens, encore de la bouffe ! Surement un signe…
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c été une super auto que j ai eu l occasion de voir tourner dans les mains de Didier Auriol a l époque sur le rally du Rouergue arff ça me rajeunis pas^^