Celle là, quand j’l’ai croisée sur le Spring Event #5, il a fallu que j’use de toutes mes relations pour réussir à trouver Clément, son proprio. Ouais, j’la voulais sur DLEDMV… En même temps, quand on voit le level du matos ! Attendez, une Audi 100 C1 Coach de 73 juste posée sur air et chaussée en BBS E49… Ah, vous me comprenez maintenant !
Elle claque… voilà, merci et à bientôt ! Bon allez j’déconne, j’vais vous en parler un peu… même si finalement, il n’y a pas grand chose à dire puisque les modifs que Clément a réalisé sur son Audi, sont discrètes mais juste c’qu’il faut, c’est à dire parfaites. Ce qui prouve une fois encore qu’il n’est pas nécessaire d’en faire des tonnes pour obtenir un résultat qui déboite la rétine… au contraire. Plus c’est simple, plus ça claque.
Pour poser le tableau, c’est avec l’Audi 100 C1 que la marque aux anneaux allait commencer à venir jouer sur le terrain de BMW et Mercos pour entrer dans la famille des constructeurs premium, et ça allait plutôt bien marcher. Le Coach (Coupé 4 vitres à ne pas confondre avec le Coupé S qui lui, était un Hatchback… Ah ouais, c’était un chouill’ compliqué chez Audi, mais faut suivre aussi), n’est pas du genre de celles qu’on croise tous les jours. En même temps rouler en classic, c’est une état d’esprit, une mentalité. La caisse est robuste, fiable, simple, mais l’âge est là et il faut savoir composer avec les petits caprices de mamie ! En même temps, ça fait aussi partie du charme.
Son coach, Clément l’a acheté à un gars totalement mordu d’aircooled, qui possédait plusieurs modèles dont une sympathique Porsche 912, la 1ère 911 mais avec le Flat 4. L’Audi avait un petit soucis mécanique, en fait, le bloc avait été démonté mais mal remonté… du coup, il tournait comme une couscoussière ! Clément va le déposer chez son pote Franck, qui se charge de remettre tout ça en ordre et de le faire redémarrer.
Une fois la partie méca remise d’équerre, c’est au tour de la caisse de recevoir sa p’tite cure de remise en forme. Et là c’est un autre pote, Aurel, qui va être de la partie. Il fallait maintenant passer aux choses sérieuses et signer la caisse d’un C qui veut dire Clément… Enfin, surtout d’un air… Et pour commencer une histoire internationale va se mettre en route ! Concentrez vous et suivez les choses : Clément a trouvé un polonais qui habitait en Angleterre et lui a demandé qu’il lui vende un kit airride tchèque ! Ah on voyage en 1 phrase là… Mais ça a marché et le coupé allemand s’est retrouvé posé sur boudins.
Restait plus qu’à trouver des pompes au niveau de l’engin… et quelles pompes ! Clément va avoir le gros coup de bol de tomber sur des centres BBS E49 pile poil à l’entraxe de l’Audi. Sans hésiter il les récupère et se rapproche ensuite de son pote Charles de Wheels Works pour commander des voiles en 7×17.
Le final ? Vous l’avez qui défile devant vos yeux. Et oui, ça pique, c’est violent, ça déboite et il faut un petit moment pour s’en remettre. Et pourtant, c’est simple… un kit airride et 4 roues ! Bim…
Comme souvent, pour terminer, Clément souhaite remercier tous ceux qui l’ont aidé. Franck, Aurel, Charles, Marcel, Tristan, Bastien et Julien. Et moi, je remercie surtout Clément pour avoir la chance de pouvoir faire ce billet sa superbe Audi 100 Coach… et Costa pour les superbes clichés !
© DLEDMV via Ti Ti & KΩS photography
Une pure caisse et un texte pompelup !
Merci Seb 😉