Ha ben tiens, une p’tite 5 GT Turbo… ça faisait longtemps et puis pour être honnête, la GT Turbo, c’est comme la 205 GTI, on en trouve plein sur le net… mais dès qu’on vire les modèles rincés, fracassés et jackysés, difficile d’en trouver vraiment bien mis en valeur. Donc quand on en trouve une, on se dit que ce serait sympa d’en parler !

R5 GT Turbo : Red bomb ! 13

Surtout que cette GT Turbo ph2 de 88 est finalement pas presque d’origine. En tout cas, esthétiquement, elle fait l’impasse sur les kits goldorakisés avec extensions rivetées et ailerons surdimensionnés. Si ce n’est le jeu de Speedline chaussé en 195/50/15. 

R5 GT Turbo : Red bomb ! 14

La garde au sol abaissée et en dehors de l’intercooler qui prend sa place dans le pare choc avant, rien ne laisse imaginer le gazier qui sommeille sous le capot. Le Cléon de 1.4l reçoit son lot de durites, parce qu’il faut bien prendre soin du refroidissement de la bête. Surtout quand on se fait souffler dedans par un Garrett GT2560R

R5 GT Turbo : Red bomb ! 15

Le châssis et le freinage sont revus en conséquence, en même temps, avec 240 bourrins sous l’capot, faut qu’ça tienne. Dehors comme dedans, car niveau cockpit, c’est désormais le vide, si ce n’est la moquette rouge, le baquet OMP et l’arceau qui vienne accompagner le tableau de bord, le volant… et basta ! Oubliez tout le reste, plus de siège passager, plus de banquette, et plus aucun habillage à l’arrière !

R5 GT Turbo : Red bomb ! 16

R5 GT Turbo : Red bomb ! 17

Efficace, cette GT Turbo, elle l’est. Aussi bien niveau perfs, qu’en efficacité, que visuellement. Sobre, propre, elle va direct à l’essentiel sans chercher à en faire trop, bien au contraire. Une bombe comme aimerait en voir plus souvent… surtout quand elles sont tricolores !

R5 GT Turbo : Red bomb ! 18

© automotivetuner.com