Hé ouais ! Dès qu’on touche à une légende, forcément, on crie au scandale ! Par contre une Clio peinte en rose, avec des enjo’ à la con et un sticker qui fait la pub du rosé d’Anjou, là, y’a personne pour dire quoi que ce soit ! Pourtant, elle est où la différente avec la citadine de chez Renault et une Ferrari Testarossa hein ?
Bon, je vous rassure, ce n’est pas parce qu’on écrit pour vous raconter de jolies histoires que tout ce qu’on va vous dire est forcément intelligent… surtout venant de moi (J’anticipe sur un éventuel scud de Julien !). Bien au contraire, aller comparer une Clio et une Testa’ c’est un peu comme hésiter entre un tartiflette et un menu gastronomique chez McDo !
Bref, au delà des quelques lignes du dessus, qui, je le reconnais, ne servent qu’à combler, la star du jour est rouge, large, née à Maranello et mue par un Boxer 12 de 390 ch. Et en 84, ça faisait de vous un Dieu de la route…
30 ans plus tard, c’est toujours du pareil au même. Rouler en Testa’, c’est la classe ! La ligne est toujours aussi magique, ce cul, ces ailes… plongeon dans les 80’s. Alors oui 390 ch, une simple berline au blason sportif vous en proposera beaucoup plus. Mais une légende reste une légende. Voilà, voilà… Quoi ? Le reste ? Quel reste ?
Ha oui, bah, juste un droppage plutôt violent pour aller incruster les jantes, montées sur des voiles sur mesure, au fond des ailes ! C’est tout… et j’en vois déjà certains qui pensent que c’est déjà trop !
Il n’empêche, que notre Féfé en devient juste terrible ! Shootée au sol, elle glisse sur l’asphalte… Un projet dantesque, le truc où il faut quand même être couillu pour oser s’en prendre à une Testarossa sans tomber dans le mauvais gout… hé ouais, c’est du made in Japan !
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