Celle là les enfants, elle va piquer les yeux et laisser des traces dans les calbut’ ! Pourtant, à la base, ce n’était pas foncièrement gagné. Une BMW Série 5, E34, break… Ouais voilà, le truc parfait pour aller au vide grenier du dimanche matin ou éventuellement y attacher la remorque pour le voyage à la déchèterie. Enfin, il y en a aussi qui lui colle 4 jantes et la pose par terre…

Forcément sur De l’essence dans mes veines, vous vous doutez bien qu’on ne va pas vous faire un essai comparatif des derniers attelages tendances (Quoique, ça pourrait avoir de la gueule !) ou de la capacité de chargement de l’engin pour partir avec en vacances avec Madame, les jumeaux et Kiki, le caniche qui chie partout ! 

Nan, ici faut que ça hurle, que ça frotte le bitume et que ça balance une bonne cure de pompelup ! Et avec la E34 qui débarque, on va être servis !

Au programme, notre break des familles est directement shooté au sol via des combinés statics. Les ailes ont pris du muscle, non pas pour jouer les gros bras, mais plus pour permettre au jantes de AC Schnitzer de pouvoir y caser diamètre et déport. C’est que ça a besoin de place du 9,75 et du 12,25 x 18′ !

Et comme d’hab, pas grand chose de plus. Une petite lèvre, une caisse d’une propreté qui commence à se faire rare sur une E34. D’ailleurs, en parlant de chant, celui de notre gros break n’a rien à voir avec celui d’un pathétique mazout. Oui, ça sent l’essence mon bon monsieur ! Un 6 en ligne 2.0 l qui hurle à travers une ligne la plus directe possible !

Dans l’habitacle, le « pilote » se love dans les effluves et cuir et de bois, mais tout est d’origine BMW. C’est propre, net, clair et sans bavure ! Invitation au voyage, tout en lorgnant les obstacles routiers nommés dos d’âne !

C’est l’asphalte des routes polonaises que raye ce touring. Il n’empêche, à chaque fois qu’on tombe sur ce genre de niveau, on se dit que finalement, la même dans le garage, ça pourrait le faire quand même… Non ?! 

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© Bremi Breakboy / Photos via signatures éventuelles