On pourra dire ce qu’on veut, mais lorsque vous écoutez le chant mécanique, les carbus ont quand même un truc en plus comparé au modernes injections. Une variation de ton qui suit le rythme du régime moteur, surtout lorsqu’elles étaient préparées et libérées… Jouissif !

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Non pas que les injections ne soient pas agréables à l’oreille, mais elles ont un côté artificiel, à l’image d’une molette qui servirait à moduler le son. Bref, comparer les hurlements de carbus et ceux d’injections, c’est un peu comme chercher des similitudes entre un vinyle et un CD ! Le 1er gagne son charme de ses défauts, pendant que le second profite de son rendu parfait. Chacun son truc, Satriani ou Daft Punk… M’enfin, rien n’empêche d’aimer les 2 !

N’empêche, pour les « carbus sceptiques », voici donc un florilège en carbus majeur, où l’orchestre est composé de Ford Escort RS1800, Fiat 131 Abarth, Lancia Stratos HF… une sorte de philharmonie mécanique !

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