Ouvrez grand vos esgourdes, le GTV6 qui suit va vous emporter dans le monde merveilleux du Busso. Pas besoin de grosses jantes, de airride, de peinture qui claquemouille sa race. Juste un GTV6 et une ligne faite maison. À ceux qui doutent encore que le Busso est un des meilleurs moteurs au monde, écoutez donc ça !
Un GTV6 ça reste une caisse des années 80. Il faut surveiller la rouille. Les phares éclairent autant que le mitard d’une prison indonésienne. Les essuie glace qui étalent plus qu’ils n’essuient. L’entretien qui devient coûteux et à ne surtout pas négliger. Elle ne fait « que » 160cv. Ce qui, croyez moi, est déjà bien suffisant pour cette voiture ! Oui mais…
Mais c’est une Alfa, à propulsion qui plus est. Donc normalement là déjà on n’a pas besoin d’en rajouter. Et malgré tout, dans les Alfa il y a le V6 Busso. Et ça, ça vaut bien tous les petits caprices du monde. Qu’il soit fourré sous le capot d’une 156 GTA, d’une 164 V6, ou encore de sa frangine la 75, c’est le même plaisir à tourner la clé dans le contact à chaque fois.
Ce son qui vous prend et qui vous emmène sur l’autoroute du plaisir. Tant par la conduite que par celui des oreilles. C’en est d’autant plus dommage que le micro du vidéaste n’était pas assez puissant pour saisir la quintessence de ce moteur. (Et ouais, quintessence ! Je connais aussi des mots intelligents !)
J’en profite pour faire une bizette à mon viké, qui est en pleine restauration d’une GTV6 identique à celui-ci. Courage mon poto, plus c’est long plus c’est bon 😉
©Verwegen Studios
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