Alors, on a eu la Lambo, la Mustang Roush engagée en PWC, la Rebellion style LMP1 on ice… Il ne restait plus que les grands malades ! Et dans le genre, pas besoin de 600 ch… Une « simple » Audi 200 turbo quattro confiée à l’équipe Biisonimafia, des finlandais un peu chtarbés et lâchez les sur une piste de slalom enneigée… Forcément, ça laisse des traces !
Saviez vous que la berline d’Audi doit l’origine de son nom à sa puissance, comme toutes la gamme à l’époque d’ailleurs. Ils s’embêtaient moins à l’époque, à coup de communication et travail sur l’image exacerbé. Même chose pour les moteurs… L’Audi 100 C1 en recevait 2… Un 1760 et un 1871 cm3 de respectivement, 85 et 112 ch… Les air ride ? C’est venu plus tard !
Sans être foncièrement fan de la marque, cela n’empêche pas de reconnaitre qu’Audi est surement la seule marque aillant réussi à se sortir une image haut de gamme et sportive en si peu de temps. Challenge du mégalo Dr Ferdinand Piëch, qui a réussi à prouver qu’une image s’acquiert autant avec la pubet la qualité qu’avec les victoires en compétition !
Il y a quelque chose de spécial dans cette vidéo. Elle renvoie un plaisir de conduite que chacun d’entre nous a connu un jour. Pas l’ivresse de la vitesse, ni le côté kéké de la chose, le pied droit soudé au plancher. Non, le cruising, en pleine nuit, dans des rues désertes et humides, un bon son tranquille que déversent les haut-parleurs. (suite…)
Le milieu de la caisse c’est comme celui du Hip Hop… Faut de la bimbo, de la fesse et du cuissot ! Et si en plus elle est blonde à forte poitrine…! C’est vrai regardez les pit-babes, les poupées gonflées sur les salons, et sur les meetings… A croire que le plus important sur une bagnole reste les mensurations de celle qui en descend côté passager !
