Depuis que De l’essence dans mes veines a trempé son pain dans le caquelon à fondue d’Artcurial, la corbeille ne désemplit pas et l’on se fait un plaisir d’y perdre notre bouchée pour prendre des gages ! Michel, ressers moi un petit blanc ! Pendant ce temps-la je vais *hips* raconter une peu *hips* l’histoire de cette *hips* 250 GT SWB !
Est-ce qu’il n’y a que des Ferrari chez Artcurial ? Réponse : Non ! Même si l’on pourrait le croire après les deux tas de boue que l’on vous a déjà présenté. (lire aussi : Ferrari 365 GTB/4 ; Testarossa Spider ). La belle du jour est une auto, que dis-je… une icône qui marqua un tournant dans l’histoire de Ferrari, lui faisant gagner ses jalons de veritable constructeur d’automobiles de rêve. Outre le fait qu’elle est d’une beauté à s’en arracher les poils du nez avec une pince à cornichons, elle est aussi l’une des plus chères autos de collection du monde de par sa rareté, son exclusivité et sa capacité à rendre les collectionneurs complètement barges !
Alors évidemment chaque caractéristique de cette voiture se traduit par un zéro en plus sur le chèque. C’est la toute dernière des 250 GT SWB produites (SWB : Short Wheel Base : Châssis court), dans la même famille depuis 33 ans, quelques prix d’élégance et victoires en course à son actif… Chose qui devient rare par les temps qui courent, Antoine Midy son ancien propriétaire n’a pas rechigné à faire chanter le V12 lors de concours d’élégance ou courses de véhicules historiques ! C’est peut-être pour ça qu’elle n’a pas trouvé preneur lors de la vente de ce mois de février, pourtant à 9 millions d’€ (au bas mot) c’était une affaire !
On ne le dira jamais assez, une voiture, toute prestigieuse qu’elle soit, c’est fait pour manger de la route !
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