Si vous êtes un habitué de mes articles (Parait qu’il y en a…) vous savez alors l’attirance que j’ai pour les courses de tourismes, les fameuses touring cars. Alors je vous propose un voyage dans le temps, via planète De l’essence dans mes veines, on danse… Rien, mais on se fait la saison 1994 !
Supertourisme… Voilà de la course animée, où les pilotes avaient un haut niveau de testicularité, et n’hésitaient pas de le montrer ! Ca freinait trop tôt ? Ils poussaient ! Une corde approximative ? Ils s’incrustaient…
Un truc de mecs, qui se chauffaient, dès qu’ils se retrouvaient casqués et harnachés dans l’habitacle de leurs machines de guerre, mais qui bringuaient ensemble une fois le drapeau à damier passé… Même si des fois, il fallait quand même régler ses comptes dans les stands !
Alors si vous n’aurez aucune difficulté pour trouver toutes les courses en DTM, BTCC, JGTC,… en vidéo, pour le Supertourisme, c’est une toute autre histoire… Heureusement que nos voisins anglais sont là, comme quoi, les français qui s’intéressent aux bagnoles sans vraiment s’y intéresser, cela ne date pas d’aujourd’hui…
Et pour continuer, avec la seconde couche, je ne sais pas vous, mais je ne comprends toujours pas pourquoi nos voisins ont toujours la chance d’admirer ces courses de voitures de tourisme, alors que chez nous, avec nos constructeurs qui ont quand même le vent en poupe sportivement, on doit se réjouir seulement du Mitjet. Non pas que la formule ne soit pas séduisant, mais comparé aux musclés DTM ou BTCC, ça manque de Pompélup quand même !
Ceci dit, retour donc sur une rétro de la saison 94, qui voyait Laurent Aïello et sa 405 mi16 perdre le titre au profit d’Yvan Muller sur BMW 318is. A leurs côtés, tous les funambules du volant, dont Hélary, Alliot, Gache, Cudini, Laffite, Tarrès, Ortelli et un certain Christophe Dechavanne.
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Rahhhh je ne sais pas, vous qu’est ce que ça manque…
© Eurosport via inquiqitor229
J’ai eu le poster de cette BM dans ma chambre d’ado, tin de flash back…
Jérémy Gillard! La bonne époque
Ou la! Du chef d’œuvre sur piste!
Ou la! Du chef d’œuvre sur piste!