Ha vous voulez rouler différent ? Alors au milieu de tous ces imports made in Japan, qui transitent, ou pas, par l’Angleterre, il y en a bien une qui pourrait faire de vous l’attraction de votre quartier, de votre boulot, de votre famille et même du parking le vendredi soir ! Si Monsieur ! Elle, c’est la Toyota Sera… Originale jusqu’au bout des ailes !
La Toyota Sera, c’est un jeune fille habillée en rose avec des plumes sur la tête (Ou ailleurs…) en plein milieu d’un enterrement noir et lugubre ! C’est une reprise d’AC/DC en plein milieu d’un opéra de Mozart ! Un bouffée d’oxygène visuelle et mécanique, même si son petit 1.5 l fait ce qu’il peut du haut de ses 110 ch pour donner des ailes au frêle coupé qui n’accuse que 930 kg !
Car justement, en parlant d’ailes, l’originalité du Sera vient de ses portes en élytres. Ils ont osé sur une caisse dite « populaire ». Rien que pour ça, l’engin vaut le détour, un détail principalement réservé aux supercar et autres caisses dont le prix compte 6 chiffres.
Bien entendu, la satisfaction s’arrête là. D’une, elle n’est jamais sortie de son ile japonaise natale, hormis, bien entendu, de quelques initiatives individuelles. Mais je n’ai pas souvenir d’en avoir entendu parler d’une circulant sur nos routes héxagonales… l’occasion de lancer un appel, si l’un d’entre vous en connait une…
Alors au Japon, ils se régalent de lui greffer le fameux 4AGE ou bien le 4E-FTE (Le petit 4 pattes turbo de la Starlet GT Turbo). Surtout qu’avec moins d’une tonne et sa gueule sympatoche, le potentiel est là. Vous n’en ferez pas une supercar, mais pour une GTI nerveuse, y’a moyen de moyenner !
La Russie est au Japon, ce que l’Afrique fut (est toujours ?!) pour la France. Entendez par là que toutes nos caisses qui commençaient à avoir du mal à passer le CT, y étaient envoyées. La Russie c’est pareil. Les caisses japonaises qui deviennent limite y gagnent une seconde vie. C’est donc comme ça que cette Sera s’est donc retrouvée à Moscou, chaussée en BBS, droppée au sol plus quelques détails par ci, par là.
Et ça lui va bien. Le traitement sobre, l’originalité et la rareté de la caisse… Allez, ça vous a donné des idées ? Y’en a un à pécho sur Pistonheads… Enfin, j’dis ça, j’dis rien…
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Julien Estevenon je suis trop fan!