OZ Racing… J’ai toujours pensé que ce nom avait un rapport avec le magicien d’Oz… Equiper des voitures de compet’, que ce soit pour circuit ou rallye, et devenir une des références à travers les époques, il y a bien quelque chose de magique la dedans… Et ça fait 45 ans que ça dure !
Et bien pourtant, il n’y a aucun rapport, ni de près, ni de loin, avec le célèbre magicien imaginé par Lyman Frank Baum en 1900 (Ho la culture…!). Nom, le fabricant de jante doit son nom aux initiales de ses 2 associés créateurs : Silvano Osselladore et Pietro Zen. Voilà, pourquoi faire compliqué hein ?!
La marque équipe les Mini Cooper officielles qui lui feront gagner ses 1ères victoires en rallye et la feront connaitre. L’année suivante, c’est dans le milieu des 2 roues qu’OZ fait son entrée.
En 78, la marque qui s’est rapidement forgée une réputation, entre dans la cour des grands et inaugure une usine de 1800 m2 à San Martino di Lupari. Elle va fournir des montes d’origine ainsi que proposer un catalogue en accessoire.
En 82 elle est la seule marque à fournir Lamborghini. En 84, la marque créée la division OZ Racing pour faire son entrée en F1. L’année suivante, elle équipe les F1 Alfa Romeo de Riccardo Patrese et d’Eddie Cheever avec des roues en alu et magnesium.
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En 87, OZ fonde le prix « Ruote in Corsa ». Il récompense les talents divers qui émergent dans le milieu du sport auto. Gordon Murray le recevra en 88, Carlos Sainz en 90, Michael Schumacher en 91, Jacques Villeneuve en 94 et Franck Williams en 96.
En 89, OZ ouvre une succursale au Japon. En 90 elle rentre en mondial avec Carlos Sainz et Toyota. La Celica 4WD est chaussée en OZ Rally Racing. Et c’est justement elle qu’OZ fait renaitre 26 ans plus tard puisque la Rally Racing revient au catalogue.
Pour continuer l’histoire, OZ va continuer d’asseoir son nom… Aprilia en 90, Renault F1, Williams F1, l’IRL jusqu’à remporter les 500 Miles d’Indianapolis en 97, ou le titre WRC avec la Peugeot 206, la Subaru Impreza ou les Xsara et C3 de Sebastien Loeb, mais aussi des titres en F1, F3000, Indy 500 ou aux 24h du Mans…
En parallèle, elle ouvre son centre de style et collabore régulièrement avec Franco Sbarro.
Niveau pompelup, c’est la Superturismo, la famille Superleggera et Ultraleggera, la F1, les Formula, les Racing Leggenda, les Turbo, la Futura, mais aussi les roues Hartge qui sortaient de chez OZ. Style, qualité, dessin… voilà comment on traverse les époques !
© OZ Racing Wheels & signatures éventuelles
Je m’endormierai moins bête, je sais d’où vient ce nom Oz et de quand date le livre du magicien… 😉
Ha tu vois ! De l’essence dans mes veines, d’utilité mécanique !
Déjà belle d’origine avec des jantes OZ elle est parfaite…Une groupe A de route…
des jantes comme ca j’en reve la nuit mdr
Vend deux reins ça devrait aller
The anecdote: Silvano Osselladore et Pietro Zen = OZ !!! 😉
Toi tu lis l’intro avant de lire lire l’article complet :p
Oz racing ma vie depuis 30 ans