Le turbo, ça fait gagner des watts à la louche… Et les watts c’est bien ! Enfin, les faire passer au sol c’est mieux… Et quand c’est le cas, le résultat est souvent surprenant, surtout pour les caisses plus velues qui n’ont pas l’habitude de se faire chauffer par ce genre de petits calibres… Comme cette Golf 2 GTI qui se permet d’aller chercher une Ariel Atom !

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Et pas n’importe où, sur le Nürb… Endroit où le coup de volant, la connaissance du tracé, le châssis et le sang froid du pilote, sont quasiment aussi important que la taille de ses baloches !

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Et des baloches, notre pilote du jour en a, et des grosses, bien  calées au fond du baquet de sa Golf 2 GTI 16v à laquelle il a donc greffé un turbo. L’escargot souffle à 0,8 bar pour permettre au 1.8 l de sortir 300 bourrins. Dedans, il a conservé le strict nécessaire, et viré tout le superficiel… Sachant que le voiture du peuple tourne d’origine aux alentour de la tonne… l’équation est donc plutôt simple !

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300 ch, un turbo qui balance du couple à tous les étages, moins d’une tonne, un châssis tip top, une aéro home-made… et le coup de volant qui fait le reste, forcément, ça fout les boules à l’élite !


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