Cette caisse, je devrais vous en parler en faisant un doublé avec un de nos A fond ! Un bon gros hip hop ressortis du passé, un truc qui tape, à la sauce West Coast… Parce que la Chevrolet Impala, c’est le monument mécanique du bad boy, obligatoirement posée avec presque la moitié des roues qui disparait dans les ailes… Oui, comme celle qui arrive justement ! Mother Fuc…
La Chevrolet Impala de 61, appelée aussi Bubble Top, c’est l’une des plus belles caisses proposées par Chevy. En tout cas, c’est l’un de leur best seller à l’époque car, rien que sur l’année 65, elle s’est vendue à plus d’1 million d’exemplaires et sur sa carrière, elle a dépassé les 20 millions d’unités !
Aux States (Et même partout ailleurs !) elle est devenue une véritable institution, l’icône de la culture hip hop, pour cruiser le coude la portière, en se prenant pour ice Cube, Easy E, Tupac, The Game, Dr Dre ou encore Cypress Hill !
Surtout que celle qui débarque, elle a tous c’qu’il faut… Sous son capot, un V8 Chevy 502 ci avec culasse alu, carbu Holley 4 corps, radiateur en alu lui aussi avec double ventilos et ligne Flowmaster pour sortir 500 ch et les envoyer sur les roues arrière via une boitoto 700R.
Niveau châssis, ça tourne pas en rond ! Ca monte et ça descend grâce à une kit airride. Les ailes sont alors remplies par des jantes Intro chromées en 18′ chaussée en Nitto. Derrière, le freinage n’a rien à envier à une sportive moderne.
Pour le look, la voiture n’a reçu aucune modif. Les chromes sont rutilants, la carrosserie hyper clean et une robe Brandywine Candy de chez House of Kolor vient recouvrir la tôle. Encore une fois, la profondeur est troublante et ça claque la rétine sous le soleil de la Californie !
Dans l’habitacle, c’est class avec du cuir de partout, de la moquette et un peu d’alu poli. Le cuir, c’est tendu ou plissé, sur les sièges électriques, la console centrale, les panneaux de portes, le ciel de toit et le tableau de bord… Justement, en y étant, il reçoit un combiné numérique et la clim de chez Vintage Air. La colonne est réglable et se termine sur un volant Billet Specialties.
Au final, on n’a plus qu’une envie… Se glisser derrière son volant, bien caler les Ray Ban sur le nez avant de faire péter les watts et les bass pour aller cruiser sur la Pacific Coast Highway…