La voiture c’est bien… les lignes, le châssis, les performances, les sensations, le poids, l’architecture mécanique, propu, traction ou 4 roues motrices… Oui, tout ça fait ce que nous sommes devenus, des petrolheads, aux veines abreuvées par l’essence. Mais pour que ça fonctionne correctement, il faut l’essentiel, le moteur !
Et si certaines voitures sont entrées dans la légende en marquant les différentes époques, force est de reconnaitre que si elles avaient eu un autre moteur, cela n’aurait peut être pas été le cas.
Ferrari V12 Colombo :
Celui qui contribuera à forger la légende Ferrari. Né en 1500 cm3, il évoluera jusqu’à presque 5.0 l. Cependant, il serait ingrat de parler du Colombo sans parler de celui qui l’a fait grandir, Lampredi. Il fera le bonheur des lignées Ferrari 125, 250, 275, 330, 365, 400 et 412 ! Une icône…
Ford Kent :
Développé et produit par Ford à partir de 1950, ce 4 cylindres de 1.6 l entrera dans la postérité une fois passé sous les mains du célèbre Colin Chapman. Sa fiabilité et son potentiel de préparation en fera une pièce de choix… et ce jusqu’en 95 où il équipera les Fiesta et Ka.
VW Flat 4 aircooled :
Le Flat 4 VW a fait le bonheur du constructeur de 1936 jusqu’à 2006 ! Une carrière aussi longue que sa diffusion en fait le moteur le plus vendu au monde (Plus de 30 millions !). Au delà des Cox, Combi, Coupé Karmann, Kübelwagen, Type 2, Puma, Porsche 914, 912… et bien d’autres, vous pourrez aussi le retrouver en compétition, pour une utilisation industrielle, ou dans l’aviation.
Ford Pinto : 5 cylindrées pour une carrière de plus de 30 ans. Le Pinto, tout comme son cousin Kent, proposait une large fenêtre de tir… Docile sur une citadine, il pouvait se transformer en pompe à feu une fois confiée à des ingénieurs sans scrupules ! Il a fait, entre autres, le bonheur des Escort RS2000, mais aussi, une fois confié à Mike Costin et Keith Duckworth, celui d’une certaine famille estampillée RS Cosworth !
V6 PRV :
Né en 1974 de l’association de Peugeot, Renault et Volvo, ce V6 alu n’offrira pas une technologie avant-gardiste, mais comptera sur sa fiabilité pour faire le bonheur de certains préparateurs et constructeurs qui lui en feront voir de toutes les couleurs, turbo, culasses 24 soupapes… On le retrouve sous les capots des Venturi, Alpine, DeLorean et même le préparateur Hartge s’y penchera pour la Safrane Biturbo. L’apothéose, il l’atteindra sous le capot de la Venturi 400 GT, surnommée la F40 française avec ses 408 ch.
Alfa Romeo V6 Busso :
S’il en est un qui correspond à l’Italie, c’est bien lui. Du caractère, bon comme mauvais, pour une pack puissance / son juste magique. Essayer un Busso, c’est succomber à la magie Alfa ! Et peu importe le flacon, GTV, 164, 75, RZ ou même GTA, ce moteur est tout simplement envoutant !
BMW S14B23 :
Qui a dit qu’une vraie Béhème se doit d’avoir un 6 en ligne ? Je l’invite à aller jeter un oeil sur le magnifique 4 cylindres de la M3 E30, celui là même qui a permis à série 3 de s’imposer à 1346 reprises en supertourisme (Toutes nationalités confondues), mais aussi en rallye, notamment au Tour de Corse. Un 6 cylindres qu’ils disaient !
Audi 5 cylindres Turbo :
En 76, Audi équipe sa nouvelle Audi 100 d’un original et tout nouveau 5 cylindres. Puis une fois équipé d’un turbo, il va entrer dans la légende, notamment sous les capots des Quattro Sport, RS2, S2 et S6 jusqu’en 97 avant de disparaitre. Mais il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis et qui osent tout… Et en 2009 le 5 cylindres est de retour chez Audi sur le TT RS … Bien qu’il n’ait aucun rapport avec son ainé, il en reprend parfaitement le flambeau ! Comme quoi, les mythes ne meurent jamais…
Toyota JZ GTE :
Le paradis des préparateurs… et je parle des 2. Aussi bien du 1JZ et ses 2.5 l que du 2JZ et ses 3.0 l. Vous les retrouverez sous les capots de plusieurs coupés et berlines du constructeur japonais, mais surtout, celle qui a fait sa renommée, la Supra. Niveau potentiel, même si les 600 ch sont facilement atteints, ils ne craignent pas de dépasser allègrement les 1000 ch… à partir du moment où c’est fait correctement !
Nissan RB25 et RB26 :
Après les 1JZ et 2JZ, leurs meilleurs ennemis de chez Nissan. Eux aussi des 6 en ligne, accompagnés de leurs turbos, qui ont fait le bonheur des sportives estampillées Nissan, mais surtout, des Skyline R32, R33 et R34. Capable de passer à 600 ch sans trop de modifs, il est étudié pour encaisser le mégawatt… 1360 ch ! Certains en ont même fait leur spécialité.
Jaguar XK Straight Six :
Un autre 6 en ligne, anglais, et qui, à l’image du Colombo pour Ferrari, a permis à Jaguar de forger la sienne. Né en 48, il restera en production jusqu’en 92. Il offrira 5 cylindrées, 2.4 l, 2.8 l, 3.4 l, 3.8 l et 4.2 l pour se retrouver sous les capots des Type E, XK120, XK140, Mark 2, S Type, XKSS, XJ6… et assemblé, il servira de base à l’élaboration du V12 maison… Une véritable institution anglaise !
Viper V10 :
Partir d’un bloc de camion pour en faire celui d’une voiture sportive, fallait oser ! Et ça a marché avec la Dodge Viper qui venait effrayer ses concurrentes avec son V10 de 8.0 l qui montera jusqu’à 8.4 l… Capable de ruiner son train de pneus en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, greffez lui un duo de turbos et il fera passer une Veyron pour une trottinette… une fois le grip trouvé… si on y arrive !
Mopar Hemi :
Son nom, il le doit à ses chambres de combustion hémisphériques. Né en 51, l’Hemi est toujours en production, et connait aujourd’hui sa 3ème génération. Depuis, il a fait le bonheur de plusieurs générations de Chrysler, Imperial, De Soto, Dodge, Plymouth, Monteverdi et encore Jeep. Des noms ? Barracuda, Charger, GTX, Dart, Super Bee, Road Runner, Daytona, Super Bird, Challenger…
Subaru Boxer 4 :
Né en 89, ce 4 cylindres à plat s’est façonné une réputation sur les spéciales du monde entier. Correctement entretenu (Cette règle vaut à tous les moteurs, quels qu’ils soient !) il offrait fiabilité et puissance, avec un potentiel prépa à faire tâcher son slip à un runner du vendredi soir ! Surtout aidé par une transmission à 4 roues motrices. Apparu sur la Legacy, il connaitra le succès sur l’Impreza dont il continue, 30 ans plus tard et après moultes évolutions, de faire le bonheur.
Nissan SR20DET :
Un atmo passé en turbo pour équiper la Nissan Bluebird, la Pulsar mais surtout, le coupé Silvia S14. Un potentiel énorme pour une fiabilité reconnue. Il encaisse facilement les 350 ch et, une fois forgé, les meilleurs préparateurs sont capable de lui faire tutoyer les 600 ch !
Mazda Rotatif Wankel :
Seul Mazda y a cru jusqu’au point à en équiper ses sportives… ils lui ont même fait gagner le Mans ! Pourtant, le rotatif bouffe de l’huile, consomme sa race mais offre un rendement intéressant. Surtout une fois suralimenté. Actuellement disparu, Mazda s’apprête à lui faire faire son come back avec celle qui devrait reprendre le flambeau des RX7 et RX8… wait & see !
Mercedes AMG V12 7.3 l :
Quand AMG, alors « simple » préparateur, décide de se pencher sur le V12 6.0 l Mercedes, ça donne un 7.3 l qui va se retrouver sous le capot du SL 73 AMG. Son potentiel est monumental, à tel point qu’on le retrouvera sur la CLK GTR et fera également le bonheur de la Pagani Zonda à compter de 2002.
Lampredi 4 cylindres 2.0 turbo 16 :
Lui, il a mauvaise réputation… et pourtant, il en a fait des heureuses ! Né en 66, il évoluera de 1.3 l jusqu’à 2.0l. De la Fiat 124 en passant par la Beta Monte Carlo, la Ritmo, la Tipo, la 131, la Thema, la 037, l’Alfa 155 Q4 ou la non moins célèbre Lancia Delta HF Integrale. Il équipera même la Morgan Plus 4 et terminera sa carrière au bout de plus de 30 ans bons et loyaux services sur la Lancia Kappa et le coupé Fiat. Turbalisé, il nécessitait un entretien et une utilisation scrupuleuse (Temps de chauffe à respecter, entretien rigoureux..), mais une fois le mode d’emploi déchiffré, il était robuste et offrait des perfs et un caractère de tout 1er ordre.
VW R4 1.8 T 20v :
Lui aussi il en vu de toutes les couleurs. 150, 180, 225 et jusqu’à 240 ch ! Et ça c’est d’origine… une fois revu, son potentiel est immense… tant qu’il est fiabilisé !
Volvo B turbo :
Issus de la lignée des moteurs modulaires imaginée par le constructeur suédois, ces 4, 5 et 6 cylindres, donnaient des ailes aux briques suédoises une fois turbalisés. Volvo 850 T5R, S80 T6, C70 T5, S60R… même la Focus RS en a eu recours. Et au delà d’envoyer du lourd, il est réputé indestructible !
GM V8 LS :
Une famille de V8 Small Block née en 1955 et qui a animé strictement tous les Muscle Car de la planète GM. De la Camaro à la Firebird, en passant par les Holden, l’SSC Ultimate, Cadillac CTS V, Vauxhall VXR, Pontiac GTO, les GMC, Saab 9-7X, Pontiac Grand Prix, Chevrolet Impala et Monte Carlo, Buick LaCrosse, Hummer H2, Equus Bass 770 et bien sûr, la Corvette ! Aujourd’hui, face aux différentes normes, il est devenu LT et continue de torturer les gommes arrière !
Toyota 4A-GE :
Petit mais costaud… très costaud. Issu de la famille « A », ce 4 cylindres va d’une cylindrée de 1.3 l à 1.8 l, le 4A-GE mériterait un article à lui tout seul ! Il connaitra plusieurs évolutions, 16 soupapes en « Blue Top », « Red Top », « Black Top », mais aussi 20 soupapes en Silver et « Black Top ». Equipé de l’ouverture de soupapes variable, le VVT puis VVTi, adepte des hauts régimes, il fait preuve d’un caractère bien trempé et offre un potentiel impressionnant… et ce n’est pas Takumi qui dira le contraire ! Ha oui, nommé 4A-GZE il embarque un compresseur !
Renault Cléon :
Tout comme le XU de chez Peugeot, il n’est pas le plus sportif, mais il n’empêche qu’il a su, à sa façon, entrer dans l’histoire. Né en 62, ce 4 cylindres évoluera pendant 42 ans de 956 jusqu’à 1565 cm3. A son actif, la R5 Alpine Turbo, Super 5 GT Turbo, R11 Turbo, Alpine A110, Twingo, R5 Turbo 2… Il connaitra même les honneurs de la course à bord des protos Matra Djet, mais surtout la R5 Maxi Turbo qui le faisait grimper jusqu’à plus de 400 ch. Renault en a assemblé plus de 27 millions !
BMW V12 S70 McLaren F1 :
Une pièce d’orfèvrerie ! Un V12 de 6.0 l et plus de 600 ch, capable d’aller chercher son souffle à 8000 tr dans des hurlements à vous glacer le sang. Puis ils ne sont pas nombreux à avoir gagné le Mans et se retrouver homologués pour la route !
Honda F20C – B16 – B18C5 – K20 – H22 – K24 :
Haaaaa, Honda. A l’époque où leurs moteurs, équipé du célèbre Vtec, faisait tourner la tête des aficionados de l’Himalaya mécanique. On oublie le couple, puisqu’ici tout ce passe en haut, avec des rendements à 100 ch/l voire même 120 ch/l pour le F20C qui donnait du piment à la S2000… mais une fois à l’approche de la zone rouge, c’est l’explosion…!
Mercedes AMG V8 6.3 l :
Mercedes voiture de vieux ? A force de le répéter, ça a fini par énerver les ingénieurs qui nous ont sorti un V8 digne d’un muscle car américain. Son truc, c’est le couple et l’uppercut dans la face ! Option osthéo obligatoire, et abonnement chez un bon fournisseur de pneus aussi !
Lexus LFA 1LR-GUE 4.8 l V10 :
Ha bon, ils savent faire des V10 chez Lexus ?! Oui, et surement l’un des plus envoutants qui ait existé… Bon avec l’aide des ingénieurs de chez Yamaha ! Il n’empêche qu’il s’agit d’un véritable monument de technologie, coupleux en bas, ce 4.8 l est capable d’aller tutoyer les 9000 trs pour envoyer 560 ch en mode atmosphérique… et ce bruit…!
VAG VR6, W8, W12 et W16 :
On doit l’invention de ce type à Vincenzo Lancia, mais c’est réellement VAG qui y a cru et l’a fait évoluer. 2 rangées de cylindres en quinconce pour un angle fermé de 15°… d’où son nom, « V » pour un moteur en V et « R » pour reihenmotor qui signifie en ligne… 6 cylindres en V en ligne ! Mettez en 2 et vous en ferez un W12, enlevez lui un cylindre et vous en ferez alors un VR5 et avec l’équation (5-1)x2 il deviendra W8 ! Ainsi, les Golf VR5, VR6, la R32, les Passat W8 et R36, la Bentley Continental GT et même les Bugatti Veyron et Chiron, c’est lui !
Peugeot XU :
Parce qu’il a fait les légendes… 205 GTi 1.6 et 1.9, 405 Mi16, 306 S16, 205 et 405 T16, BX Sport et 16s, 309 GTi 16, ZX Rallye Raid, TCT… Eh oui, n’en déplaise aux réfractaires, mais en France aussi on sait faire des moteurs !
Porsche Flat 6 :
Il y aurait un manque si je n’avais pas parlé du célèbre Flat 6 Porsche… Notamment lorsqu’il se refroidissait exclusivement qu’à l’air ! Un bruit métallique, caractéristique, qui font qu’aujourd’hui, il a ses fans qui ne jurent que par lui… et qui ont fini par reconnaitre que l’eau, c’est pas mal aussi !
BMW L6 :
S’il fallait vous faire la liste des 6 en ligne de chez Béhème, l’article aurait fait 4 pages ! Alors on va généraliser car le 6 en ligne est à BMW ce que le Flat 6 est à Porsche… une institution ! Qu’il soit M88 (M1, M635CSi, M535i, M5 E28) puis S38 (M5 E34), M50B30 et B32 (M3 E36 3.0 l et 3.2 l) ou S54B32 (E46 M3 et M3 CSL, Z3 et Z4M)… tous ont laissé une trace (Et pas que de pneus !) dans l’histoire automobilesque.
Ford V8 289ci et 427ci :
Si je vous dis AC Cobra, Shelby GT350, et Ford GT40… Voilà, pas besoin d’en rajouter plus ! 4.7l ou 7.0l le pompe à feu qui transformait un muscle en dragster tout en étant capable de s’imposer au Mans !
V12 Bizzarrini :
Celui là même qui a traversé les époques en animant les Lamborghini. Né en 63 avec une cylindrée de 3.5l pour la 350 GT, il terminera sa carrière en 2011 dans la violente Murcielago LP-670-4 Super Veloce. Au passage, il aura motorisé la Miura, Espada, Countach, Diablo et même le monstrueux LM002.
Cizeta Moroder V16 Zampolli :
Quand Lamborghini refusera le 1er projet qui devait donner naissance à la Diablo et proposé par Gandini, Giorgio Moroder s’en empare. Ce musicien célèbre veut sa supercar et ira jusqu’à lui greffer un original 16 cylindres en V imaginé par Oliviero Pedrazzi et mis au point par Claudio Zampolli. 6.0l et jusqu’à 560 ch (décatalysé), il offre des performances détonnantes et un son jugé diabolique par tous ceux qui l’ont déjà entendu !
V12 Ferrari :
Bien entendu, cette liste exhaustive qui finalement n’engage que celui qui l’a faite, devait se finir sur les cathédrales mécaniques que sont les V12 Ferrari. Après le Colombo, Ferrari s’essaie aux V8 Biturbo avant de revenir à ses 1ers amours avec la F50… Et quel V12 ! Ni plus ni moins que celui à 65° qui équipait les F1 de la Scuderia. Fiabilisé et passé à 4.7l il développe 520 ch et est capable de grimper à 9000 trs. La limite entre F1 et supercar est désormais franchie. Depuis elle, la Enzo, la 599 GTO, la dernier F12 Superfast en passant par la LaFerrari continueront de faire perpétuer le V12 si cher à Enzo Ferrari. mais pour encore combien de temps ?!
Voilà les enfants, 3 jours de boulot pendant les vacances histoire de pouvoir vous offrir une sélection cohérente… Sachant la plupart de ces blocs ont déjà eu les honneurs de votre blog préféré. Alors évitez le commentaires du style « Bah, t’as oublié le VR6 de mon Golf » ou encore « Et le 4 cylindres de ma Megane RS ? »… même si je sais que les boulets qui n’iront pas lire jusqu’à là le feront… C’est à vous maintenant 😉
© Signatures éventuelles
Je crois qu ils sont tous la. Je ne savais pas que le vr6 était de chez lancia a la base.
C’était un 4 cylindres chez Lancia. Dans la Fulvia en 1300 puis 1600cc par la suite
Et le 4 cylindres de ma Megane RS ?
pas encore cliqué mais z’avez plutôt intérêt de ne pas avoir oublié le 5cylindres en ligne
Sympa cette rétrospective sur bon nombres de moteur, je vais me coucher moins bête se soir. ^^
Ils y sont tous!! Par contre petite erreur les m3 e36 ce sont des s50 et non m50 😉
Et le S50b32 a également équipe les Z3M (très peux d’exemplaire équipe du S54) mais on va pas chipoter.
Noté, on va corriger 😉
Avec un alfiste dans l’équipe c’était le premier sur la liste 😉
C’est sur, ca en mange pas bien plus qu’un paquet de vvt et cie ou que d’anciens moulins pleins de fuites et jeux de fonctionnement de barges de partout xD
Super article!!!
Honda zone rouge et Boom? Pourquoi les keke font que des rupteurs et ça boom Pas? ^^
La famille Sr chez Nissan est bien plus grande et intéressante que ce que l’on imagine ^^
Sr16ve
Sr16ve n1
Sr18de
Sr20de
Sr20det
Sr20ve
Sr20ve 20v (ce n’est pas un 20 soupapes!!)
Sr20vet
Moi Taliban? Nooooon ^^
J’ai un Busso de 164 dans une GTV6! ☝