Chez Audi, la gamme était simple… L’Audi 100 avait des 4 cylindres quand la 200, qui avait la même carrosserie, en comptait (Des cylindres !). Pour la 80 et la 90 c’était pareil… la 1ère en 4, la 2nde en 5, voyez, c’était pas compliqué. Puis y’a eu A4, A5, Sportback, A7… et c’est devenu le bordel. En attendant, on revient dans le passé avec une 90 1ère du nom qui, comme d’hab, frotte le bitume !
La recette, j’vais pas vous la redonner. Une caisse propre, un habitacle clinique, avec juste une droppage et 4 jantes… Allez, on tolère quelques petits détails bien pensés et discrets, et c’est parti mon kiki (Oui, elle est bien périmée celle là, mais on la garde quand même !).
Recette encore une fois parfaitement illustrée par cette Type 85, soit les 1ères Audi 90 Quattro (Les tractions étaient en Type 81). Elle reçoit le 5 cylindres 2.2 de 136 ch avec la transmission qui a fait la réputation et le succès de la marque aux anneaux. Un beau compteur digital, les sièges en velours, ha vous pouvez chercher dans l’habitacle, rien n’a bougé… même le radio K7 est prêt à nous déverser « Fresh » de Kool & The Gang !
Parce que sur cette 90, le fresh, il est dehors. Dans les ailes, avec un jeu de BBS magnisium et un droppage, ni trop, ni pas assez ! Le charme agit ainsi, avec une robe Titian Red aussi vive que le 1er jour tout comme l’habitacle qui rendrait jalouse une A3 Tdi de 200.000 bornes !
Donc si cette belle Audi 90 Type 85 vous a donné des idées… la 1ère étape sera déjà d’en trouver une, puis qu’elle soit propre et enfin en 2.2l Quattro. Ce qui une fois traduit, signifie que vous aurez plus de chance de vous lever Taylor Swift que de rouler en Audi 90 2.2 ! Bonne chance…
© Aigo Photography
Dylan
Joris Jirodet Benjamin Jacquemot twin cup 2018