Les mecs, désolé ! On était obligés de la faire celle-ci. Pas de Pau. Ma qué voulez-vous ? C’est pas tous les jours qu’on a l’occaz’ de reprendre cette vanne ! Bon et puis après vous avoir sorti qu’en France, on s’en branle du style, ben pour le coup on r’tire c’qu’on a dit ! Parce que c’est pas de partout que des villes ferment leur centre pour laisser – entre autres – des teams de drift faire le show ! Retour sur image.
Pour la première fois le Grand Prix de Pau proposait une nocturne pour une belle démo de drift. Mais le GP de Pau c’est d’abords différents championnats dont le GP Formule 3, Clio Cup, FFSA GT et bien d’autres, le tout sur le circuit de Pau en centre ville (A ne pas confondre avec Pau Arnos). Et devinez qui c’est qu’on appelle quand on veut une démo de drift qui déchire ? La Slide bien sûr ! Et les mecs avaient prévu du lourd !
Axel François, Ben Vavasseur, Nicolas Maunoir et Seb Farbos ont déchiré les rétines des spectateurs pendant le show nocturne et les roulages. Battle, single, on a eu du travers, du kiss the wall (et même un peu trop kiss, presque « patin the wall » pour le coup !) en veux-tu en voilà ! Ils ont mis le feu (et dans le vrai sens du terme !) avec une team d’enfer, des pilotes au top et un public chaud bouillant. Qui a dit que la France était autophobe ? Ouais bon, l’administratif et les radars on s’en branle pour le coup.
Merci à vous tous de faire vivre la passion, de montrer qu’on est pas qu’une poignée d’irréductibles qui tendent l’oreille dès qu’un moulin sympa ronronne à l’horizon ! C’est grâce à vous que nous tous, passionnés de bielles huileuses et d’envolées lyriques de V12, pouvons partager et nous éclater ensemble. Si voir des caisses de traviole ça vous botte, rendez-vous à La Chapelle du Bard les 2 et 3 Juin pour la deuxième manche du Midali Slide Tour. Et puis en 2019 pour un nouveau set à Pau ! Venez-nombreux !
© Le Studio de Maks – Krys DC Photography & Octane Prod pour la Slide / Et d’autres photos en cliquant sur cette phrase magique !
Remi Casalini
Theophile Senegas toi bientot
C’est moi*