Dans les années 90, le BTCC a surement fait partie des sports mécaniques les plus spectaculaires. A l’époque, même si les budgets commençaient à sérieusement déconner, on n’avait pas encore oublié qu’un pilote, c’était fait pour… piloter, prendre des risques, chasser les trajos et donc forcément, faire le show !
Quand on regarde les courses de BTCC dans les 80’s et 90’s, on se dit que les pilots d’aujourd’hui doivent quand même bien s’faire chier et regretter ce période où les pilotes avaient encore le droit de décider c’qu’ils pouvaient faire au volant de leurs voitures. Puis comme d’hab, les budgets,les teams managers, les sponsors, les pilotes sont devenus des agents co’ télécommandés, programmés pour garder assurer des points plutôt que d’aller chercher la victoire.
Cela n’enlève en rien leur talent, ni l niveau des disciplines toujours plus élevé, tout comme le level des voitures. Non pas qu’elles soient devenues plus difficiles à dompter, mais à un moment, se battre avec les règles de la physique à des vitesses démentes, il faut quand même en avoir bien attachées.
Aujourd’hui les voitures sont plus performantes, plus rigides, plus efficaces, plus rapides, plus chères… mais moins solides. L’erreur se paye cash, au détriment du pilote qui joue presque son baquet à chaque course s’il s’amuse à abimer la voiture qu’on lui a confiée. C’est ça qui a malheureusement ruiné une partie du spectacle. Car avant de prendre un risque, autant le réfléchir à deux fois… parce que si ça casse, il peut vite se retrouver sans volant.
Alors profitons en pour un p’tit retour dans le passé. Ca rafraichira les souvenirs des plus anciens et ça montrera aux plus jeunes c’qu’ils ont raté…
So great, que de souvenirs tous ça. Essentiellement la série de jeu vidéo TOCA sur console pour moi au vue de mon jeune d’alors.
Tout est dit et presque écrit.
Je ressens quand même dans les images l’opposition entre deux générations de voitures. Là ou les Opel/Vauxhall Vectra, BMW série 3 E36, Volvo 850 break voir Alfa Roméo 155,font caisses »amat » à peine dérivées de la série avec le minimum réglementaire pour courir (arceaux cages, petits ailerons, peintures de guerre), la génération suivante des Renault Laguna (le châssis composite était développé par Willam’s, partenariat fructueux à l’époque), Honda Accord, Ford Mondéo et Audi A4 B5 sentent bien les écuries usines avec des « tourismes » plus proches des silhouettes que des dérivés routiers. Regardez les gardes au sol, angles de carrossages, spoilers et ailerons pour s’en convaincre.
Si ces deux générations d’autos on couru l’une contre l’autre la messe était dite d’avance, de même que les fameux couts évoquer plus haut.
Je crois que ce sera éternellement l’histoire du sport jusqu’à ça mort!!!
So great, que de souvenirs tous ça. Essentiellement la série de jeu vidéo TOCA sur console pour moi au vue de mon jeune d’alors.
Tout est dit et presque écrit.
Je ressens quand même dans les images l’opposition entre deux générations de voitures. Là ou les Opel/Vauxhall Vectra, BMW série 3 E36, Volvo 850 break voir Alfa Roméo 155,font caisses »amat » à peine dérivées de la série avec le minimum réglementaire pour courir (arceaux cages, petits ailerons, peintures de guerre), la génération suivante des Renault Laguna (le châssis composite était développé par Willam’s, partenariat fructueux à l’époque), Honda Accord, Ford Mondéo et Audi A4 B5 sentent bien les écuries usines avec des « tourismes » plus proches des silhouettes que des dérivés routiers. Regardez les gardes au sol, angles de carrossages, spoilers et ailerons pour s’en convaincre.
Si ces deux générations d’autos on couru l’une contre l’autre la messe était dite d’avance, de même que les fameux couts évoquer plus haut.
Je crois que ce sera éternellement l’histoire du sport jusqu’à ça mort!!!