Encore une qui va nous énerver les puristes… Mais je reconnais qu’on commence réellement à prendre un plaisir jouissif de les voir s’énerver comme des vilaines ! « Holala, mon Dieu, une Mercedes SLC, ils ont osé la modifier et lui rajouter des suspensions qui montent et qui descendent »… Oui, le coincé du cul, en dehors du traitement de la rouille, il manque souvent de culture auto ! M’enfin, nous ici, les voitures qui montent et descendent, on aime ça…
A l’époque, Mercos avait 2 modèles, le SL et le SLC. La 1ère était une voiture d’égoïste, un roadster 2 places (Enfin, la banquette était en option, mais ne pouvait se limiter qu’à des Minimoys !). Par contre, la SLC comportait un toit en dur 2 places à l’arrière. Non pas les prémices du futur SLK, mais un coupé à l’empattement plus long et aux custodes arrière spécifiques. Le profil savait rester gracieux. Enfin pour moi, ça reste la caisse de Bobby dans Dallas ou celle d’Axel Foley, le célèbre Flic de Beverly Hills !
Enfin bref, notre SLC du jour, vous pensez bien que s’il se retrouve ici, c’est qu’il possède un p’tit truc en plus… en l’occurence, un jeu d’airbag dans les ailes ! Oui, un superbe 350 SLC en mode géométrie variable. Et basta !
Pour le reste, c’est comme à sa sortie d’usine. Intérieur cuir rouge, gros volant de poids lourd, boitoto, même l’autoradio n’attend plus que de lire sa K7 ! Aux 4 coins, les superbes Barock remplissent magnifiquement les passages de roues.
Le moteur est lui aussi d’origine, c’est qu’il y a largement de quoi cruiser tranquille avec un V8 de 3.5l, 200 ch et un couple copieux. Surtout qu’avec 1700 kg sur la balance, oubliez le sport !
Encore une fois, une caisse à tomber ! Et qui revendique un état juste parfait, qu’il soit à l’extérieur ou à l’intérieur… Encore !
© AIGO Photography
Pour moi, cette merco sera toujours celle de jennifer hart dans l’amour du risque … oui, on s’est bien fait défoncer le cerveau à coup de séries ricaines dans les 80’s.