Cette année encore, Epoqu’Auto s’est mis sur son 31 pour recevoir les amateurs d’anciennes. De l’ancienne à la récente, de la routière à la sportive en passant par la compet’, difficile de ne pas trouver son compte. Alors on est allé voir c’qu’il s’y passait et à l’arrivée, on est encore tombé sur une grosse édition, mais ça, ça devient une habitude.
Impossible d’être déçu quand on est un véritable petrolhead et qu’on décide d’aller déambuler dans les allées du salon d’Epoqu’Auto. Cette année encore, l’organisation a du rajouter un hall pour répondre à la demande qui ne cesse de grandir à chaque édition. S’étendant désormais sur 66.000 m2, il y avait largement de quoi s’occuper pour y trouver son bonheur et user ses pompes !
Au fil des stands, Citroën y fêtait son centenaire et en profitait pour sortir ses sportives. Maserati et Delage étaient mises à l’honneur, tout comme la fondation Berliet qui exposait ses gros camions ! Pour le reste, il y en avait pour tous les gouts. De l’Audi Quattro S1 à la Jaguar XK120, de la Facel Vega à la Jannarelli, en passant par les restaurateurs, les miniatures, les pièces détachées, les clubs, les livres, les artistes, les fringues, les vendeurs de voitures… et la vente Osenat.
Enfin, impossible de quitter le salon lyonnais sans prendre le temps de parcourir le parking des visiteurs qui, pour l’occasion, en profitent pour décrasser la mécanique de leurs voitures de collection ou d’exception. Surtout que cette année, le soleil était de la partie.
Quoiqu’il en soit, on en a encore pris plein les yeux… Bah, j’crois qu’on y retournera en 2020 !