Quand l’Aston Martin DB4 débarque en 1958, le succès est au rendez vous. Mis à part qu’à l’époque, Aston est une des marques les plus performantes avec un palmarès impressionnant qui grossit course après course. Du coup, une version route se doit d’avoir à ses côtés, son clône passé en mode course. Et c’est donc logiquement que la DB4 voit arriver un an plus tard la DB4 GT… (suite…)
Alors autant être d’accord dès le début. Si votre truc c’est la classe, la discrétion et le respect de l’authenticité, autant que vous retourniez vous coltiner un article dans Auto plus Classic ou Youngtimers. Parce qu’avec la mercedes 280 SL qui débarque, on va vous mettre du sale. Ouais, du genre à coller la ch’touille à un puriste… Enfin, on vous aura prévenu ! (suite…)
« Père Motor, raconte nous une histoire »… Eh bien les enfants, aujourd’hui, je vais vous parler d’une frêle voiture de course des années 50 qui, malgré les apparences, affiche un palmarès plus qu’impressionnant avec plus de 130 victoires pour 14 titres de catégories dans différents championnats. Et si vous vous attendez à voir débarquer un Porsche ou une Ferrari, hé bien détrompez vous puisqu’il s’agit des Abarth 204 et 205 Berlinetta… (suite…)
Mon premier est une marque Italienne de prestige, mon second aurait pu être un nom de rappeur Aveyronnais, mon troisième est une Opel diamétralement opposée à mon tout, qui lui est une des plus bestiales Ferrari qui n’ait jamais été produite… Alors ? Alors ? La Maserati MC12 bien sur ! Un paquet de Pepito a tous ceux qui auront trouvé la réponse…
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Comme chaque année, dès que le soleil commence à montrer le bout de ses rayons, on sort les vieilles. Car après un hiver à dormir au fond d’un garage, un peu d’exercice ne leur fait pas de mal… au contraire, ça leur fait même le plus grand bien. Le Tour Auto ça décrasse les rotules et les moteurs, même si ça pétarade un peu les quelques premiers kilomètres ! Et comme chaque année, DLEDMV y va faire un tour… (suite…)
