’72 Mercury Capri en mode gonflette…

’72 Mercury Capri en mode gonflette…

La Capri, c’est ma Mustang adaptée aux contraintes du marché européen, misant sur son gabarit et ses moteurs plus compacts que ceux qui ont fait le succès du pony car de Détroit. Il n’empêche qu’elle est passée de l’autre côté de l’Atlantique. La Ford Capri est alors devenue Mercury Capri et j’vous en ai trouvé une plutôt sympa… (suite…)

Ford Capri Perana V8 – Le monstre de la bande à Basil !

Ford Capri Perana V8 – Le monstre de la bande à Basil !

Dans les 70’s les gars qui courraient en Ford Capri avaient tendance à avoir tous la même prépa. Un V6 Essex tapé dans tous les coins. Pour sortir du lot, le pilote sud africain Basil Green a eu l’idée d’y coller un V8 Windsor… sauf que pour être homologuée, il fallait en produire 500… alors il les a faites ! 500 Ford Capri Perana V8… (suite…)

Ford Capri Werksturbo – Homologation ratée !

Ford Capri Werksturbo – Homologation ratée !

Se limiter à dire que la Ford Capri, c’est la Mustang européenne, ce serait un peu trop simple. Car la Capri, c’est aussi et surtout presque 20 ans de carrière pour une prod’ qui va flirter avec les 1,9 millions d’exemplaires. Pour un coupé à tendance sportive, ça calme ! Enfin « à tendance »… certains étaient plutôt énervés, comme cette rare version Werksturbo… (suite…)

’95 Lotec C1000 – Caprice de milliardaire !

’95 Lotec C1000 – Caprice de milliardaire !

Quand un milliardaire un peu mégalo souhaite poutrer tous ses potes lors de leurs rassos de supercars à Abou Dabi, il demande à Lotec et à Mercedes de lui développer la caisse la plus débile du début des 90’s, en leur laissant un budget no limit. De là va naitre la Lotec C1000 avec pour objectif, 1000 ch pour 1000 kg et plus de 400 km/h…
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’72 Ford Capri RS 2600 Gr.2 – Quand ça tourne, c’est bien aussi !

’72 Ford Capri RS 2600 Gr.2 – Quand ça tourne, c’est bien aussi !

A la fin des 60’s, avec la Capri, Ford va essayer de reproduire en Europe l’immense succès commercial que réalisait la Mustang sur le sol américain. Sauf que les clients européens étaient plus exigeants en voulant qu’une sportive soit réellement… sportive. Pour cela, le seul moyen d’y faire obtenir ses galons était qu’elle gagne des courses. Et la référence à l’époque, c’était l’ETCC… (suite…)